Phnom-Penh, c'est aussi cela aujourd'hui !

Celui qui n’est pas allé au Cambodge depuis deux ans ne reconnaîtrait  pas  le pays, tant il a changé, est-ce en bien ou est-ce en mal, c’est une autre question.
La richesse de certains lieux dépasse l’entendement sans doute, et manifeste la folie des hommes, devant une société de consommation qui n’a plus de limites : 200 tours de plus de 35 étages, un mobilier urbain fou ; et Phnom-Penh, outre ses restaurants et commerces déments, a des centaines de logements vides, qui en effet aimerait habiter dans un tel cadre ?
J’ai vu  pour ma part des quartiers de Bangkok, Hong Kong ou Paris mais je n’ai rien vu d’aussi riche (sauf à Singapour) que cet espace gagné sur le fleuve .Les constructeurs et les propriétaires sont chinois, australiens, coréens, ou japonais.
Et pourtant, le  Cambodge reste encore un pays pauvre… les problèmes de communication sont parfois difficiles, la photo ci-jointe n’a pas besoin de commentaires. BJB